Ophélie, tu dors à
présent, pour
toujours, tu ne
souffres plus.
Tu étais ma petite
plume, ma Phélie.
Tu voulais être la
seule à mes yeux,
dans mon cœur, pour
les câlins; tu ne
pouvais pas imaginer
que je t'aimais tout
en aimant aussi les
autres chats de la
maison... Il me
fallait souvent
ruser pour te donner
ce que tu attendais
de moi tout en
n'oubliant pas les
autres.
Tu as été une
excellente maman,
attentive,
prévenante et
douce.
Tu es partie trop
vite, ma Phélie....
Je te promets de
tout faire pour
comprendre pourquoi
tes reins sont
devenus fragiles,
pourquoi tu es
tombée malade en
même temps
qu'Osiris, ton
demi-frère. Tu ne
reviendras pas, mais
je veux garder
encore longtemps tes
compagnons de jeux,
de siestes et de
tendresse, mes
chats.
Tu m'as donné toute
la tendresse qu'on
peut souhaiter, tes
pitreries m'ont
souvent fait rire et
si j'ai du chagrin
aujourd'hui, c'est
parce que tu me
manques cruellement.
Je ne t'oublierai
jamais petite Phélie.
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